"On ne peut pas terminer sans avoir commencé
Il faut faire les choses jusqu'au bout
Risquer pour cela
Il n'y a pas de meilleur exemple que Picasso "
FB
Un modèle ,un hommage de BOTERO à l'adresse de Picasso et le dialogue s'instaure ou plutôt les rapprochements intentionnels
quand Picasso fait éclater et déconstruit l'image
Botero l'amplifie jusqu'à la démesure pour lui donner sa valeur
Que ce soit dans les portraits , autoportraits, natures mortes nus , musique, danse, corrida ou cirque chaque thème est abordé en regard et clins d'oeil , bien que jamais les deux artistes ne se soient rencontrés
Je vous invite à la déambulation et l'étonnement des grandes toiles qui envahissent les murs de l'Hôtel de Caumont Délaissant le massif cheval souriant au soleil
La petite danseuse nous fait signe tout en grâce
Voilà ce que nous croyons connaître ...mais
les si généreux bouquets vous sont offerts
En formes et couleurs à vous faire tourner la tête
comme ces copies détournées de portraits de la renaissance ...Les visiteurs s'arrêtent fascinés
60 peintures d'un parcours délicieusement cocasse , accrochage réalisé sous les conseils de l'artiste et le vernissage devait être passionnant avec la présence de Botero lui-même
Il vit à Monaco à un saut de puce il est vrai
comme ces copies détournées de portraits de la renaissance ...Les visiteurs s'arrêtent fascinés
Scènes de la vie de la rue , joie en famille
Musique et danses en toute simplicité
LES NUS
Il vit à Monaco à un saut de puce il est vrai
Et pourquoi ne pas terminer ce petit aperçu par
un Picasso masqué choisi par Botero comme totem
ou cet acrobate qui me plait tant
merci… il est venu et bien venu le billet
RépondreSupprimer(mais pour la phrase sur Guernica, me semble bien que Picasso l'a fait pour témoigner, ce qui pour lui est un engagement donc politique - bien sûr il ne pouvait espérer changer les choses surtout à ce moment où le brun déferlait)
Les mots et leurs sens ont bien souvent une fausse interprétation et comme en peinture et là c'est le cas chacun s'exprime à sa façon
SupprimerMerci Brigitte de suivre si fidèlement
Pour moi, les personnages de Botero semblent à la fois influencés par ceux du Douanier Rousseau (exemple) et par ceux de Fernand Léger (exemple).
RépondreSupprimerDe Botero, j'aime pratiquement toute l'œuvre. Pour Picasso, plutôt que ses femmes défigurées, ou déstructurées, je préfère largement ses grandes figures féminines aux formes rebondies des années 1919-1922, telle celle de la "Danse villageoise" visible sur la onzième illustration de ce billet des plus passionnant. Ou bien, celles de l'Orangerie. Les femmes plantureuses de Picasso ont, elles aussi, sans doute influencé Fernando Botero.
Bon dimanche Arlette, merci pour ton petit mot encourageant dans mon grenier.
Merci Tilia pour ton analyse , mais entrer dans la tête d'un artiste est impossible et nous ne pouvons que constater le résultat ici dans ce billet tout n'est pas dit c'est seulement un ressenti de ma part en découvrant de visu la succession des oeuvres et surtout le propos sous entendu par le choix et les comparaisons grand public
SupprimerMerci Tilia pour ton approche et tes recherches intéressantes