jeudi 29 avril 2021

AVRIL S'EN VA ...RECAPITULATIF

AVRIL le petit mois  frisquet des illusions  et des espoirs ,

comme le petit vent sur  les presque fleurs

Récapitulatif  très léger 


 

SUR LES CHEMINS DU TEMPS 

Un poème de Colette Muyard sur la fuite du temps à trop vouloir, et perdre son clair regard  en 

ESCAPADE FLEURIE

Pour un retour dans la maison des champs par une carte postale de joie et de peine ,de soleil et de givre, de douceur de miel et de caresses de Monsieur O'Malley 


 
et

DES IMAGES  CHAQUE JOUR

 publiées selon les humeurs , petit journal  pour vie en minuscule, inventaire  pour ne rien oublier 


 

MAI  CLAIRONNE  EN FANFARE FANFARONNE  

Que sera-t-il ? 

 

mercredi 14 avril 2021

ESCAPADE FLEURIE

 

Envoi d'une carte postale
Et douce chaleur craintive d'un Avril à faire mentir le proverbe de ne pas quitter un fil 

Entendre les mésanges et leurs petits  cris  tsi tsi et le gazouillis de l'enfant sur la chaise -haute qui a repris du service , 90 ans peinte et repeinte en couleurs différentes selon les générations  solide et majestueuse

 Rejouer" Un dimanche à la campagne" folie des retrouvailles  avec pique - nique et champagne dans le pré le temps d'un sourire   et puis s'en vont 

Nuages menaçants degrés en dégringolade   jusqu'à l'ultime catastrophe  et gel  inéluctable l'espace d'une nuit à -7 le travail d'une année anéanti chez nos amis voisins . Feux ,fumées ,arrosages et brûlots non pas étaient suffisants Triste spectacle éblouissant des lumignons dans la nuit   Le jardin pleure au matin 

Douceur du miel blond pour guérir nos regrets  en visite chez l'Apicultrice qui parle aux abeilles , soeurs vaillantes des nôtres qui n'ont pas survécu depuis quelques années de pesticides 

C'était une   escapade au plus près de la vie  


 


 


Images et quelques mentions publiées sur ma page  éphémère FB  , dont je garde ici la trace   









A  BIENTÔT....

samedi 3 avril 2021

CHEMINS DU TEMPS... Moras

A trop vouloir fixer l'amour droit dans le coeur, loin dans le haut 
on perd bien souvent le clair de son regard 
A amplifier l'espoir aux marges de l'azur 
on enferme le ciel dans une attente sèche 
A vouloir à tout prix unir mer et montagnes 
lunes et pleins midis 
on demeure à jamais à l'orée du possible 
Puis à enttendre seul , la joie des hirondelles 
on voit enfin l'amour en face 
droit dans le simple , loin dans le vrai 
 
Colette  Muyard   (Etés filants 2008 ) 
Huile sur carton AA (village de Moras  et la Madone )