Sur les berges une brise , juste quelques rides au fil de l'eau
et la pensée vagabonde
"Que le vent qui gémit
Le roseau qui soupire ...
Mais
Le saule pleureur pleure sur le lac , les algues mornes en nappe opaque que le ciel croit nacrer en harmonie
manque d'oxygène et la promenade au lac donne un paysage figé qu'un peintre aimerait traduire en dégradés de teintes assourdies
La source est tarie au loin
mais dit-on aux premières pluies tout reviendra
"Que tout ce qu'on entend , l'on voit ou l'on respire
Tout dise ils ont aimé"
Pardon Monsieur Lamartine
l'eau verte, des fleurs, l"arbre le plus romantique et un couple
RépondreSupprimerserait satisfait Monsieur de Lamartine
Merci Brigitte pour cette douce indulgence et le couple en un instant a transformé ce paysage oubliant cette sorte de pollution verdâtre
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