Sous la tonnelle aux glycines navrées quand les gouttes d'eau voilent les yeux
emporté à la campagne
Quand Amédeo rencontre Anna à Paris en 1910
La poétesse et le peintre à l'aube de leur destin
Elle : douceur terrible entre le sphinx , la vierge et le supersonique
Lui :l'homme saisit un fusain il en a toute une boîte , arrache une page au carnet on ne voit plus les doigts bouger , on voit juste des lignes qui s'élancent et s'épousent Le nez d'abord , les yeux la bouche , puis l'ovale du visage résolu d'un seul trait!C'est comme une danse , un exorcisme , l'homme semble ailleurs emporté par sa propre virtuosité vers un monde qu'il est seul à connaître et dont il sort enfin sur le final d'une signature
Commediente l'Amadéo
"La vibration perdue des correspondances
...Le poète doit surprendre le réel "
A suivre sous la tonnelle
je t'envie : la glycine, la compagnie de ces deux êtres.. pour la pluie j'y ai eu droit
RépondreSupprimerMais ......la campagne même avec des "gardes-fous"lectures et peintures et photos
Supprimerme déprime tj
Reflexions sous la tonnelle ou sous l'ombrelle ? la nature fleure au printemps la beauté presque avec ostentation et ce n'est pas pour me déplaire.
RépondreSupprimerC'est après quand on repart que les regrets de la belle nature reviennent en vrac car sur les bords de la méditerranée la végétation est différente
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