mardi 16 août 2016

DU COTE DE LA COTE....SAINT ANDRE

Hector par ci Berlioz par là 
Tout frémit en cet Août si chaud et la Maison Natale de Berlioz sur la Grande Rue  offre un havre de paix dans  le jardin sous le balcon 


Quelques marches usées par les pas prestigieux de la demeure depuis 4 générations , la musique nous enveloppe Costumes, maquettes, dessins notes , c'est l'univers de Benvenuto Cellini   
UNE ORFEVRERIE MUSICALE 

selon le titre de l'Exposition  Persée nous accueille avec la tête de la méduse  ce destin de l'artiste qui touche Berlioz  trouvant dans ce parcours de vie une rapprochement avec la sienne 
Ce premier opéra trop moderne et fantaisiste est un flop magistral en 1838 C'est grâce à Liszt 40 ans plus tard il devient un triomphe en Allemagne et en Angleterre et sera interprété
 le 28 août au Château Louis XI par le Choeur de l'Opéra d e Cologne sous la direction de François -Xavier Roth 
"Je salue du regard  le Persée de Benvenuto ...et partons" 
Des mots à maux
A suivre pour un tour entre  les murs de cette maison si vivante et bruissante de pleurs et de mélancolie qui faisait fuir  Hector Berlioz  et  revenant sans cesse 

Ceci n'est qu'une faible partie du reportage , car l'exposition est très complète et il faut ici élaguer!!

4 commentaires:

  1. merci.. vais rêver que suis là bas, et peut être écouter l'opéra dans la très vieille version de Colin Davis (ses versions des opéras de Berlioz, un des coffrets avec les quatuor de Mozart et les trois soeurs d'Evnos qui ont accompagné mes longues hospitalisations à Paris)

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    1. Ne connais pas cet opéra mais ici les amateurs sont nombreux et très érudit , j'avoue être "légère" dans cette discipline si ce n'est superficielle
      Ai retenu Chopin ( intégrale en 9 après-midi) par Abdel Rahman El Bacha mais ne peux venir tous les jours (obligations familiales )
      La musique est un puissant guérisseur!!

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  2. Un bonheur, cette belle exposition dans la fraîcheur (relative, j'imagine :-)) de la maison de Berlioz.
    Merci Arlette, pour cette occasion de découvrir (grâce à YTube) les différentes mises en scène de Benvenuto Cellini. À mon avis, celle de Salzburg en 2007 relève de l'opéra comique tel que Berlioz l'avait initialement prévu. Quant aux rythmes de la musique et des dialogues, ils me semblent présager les opéras bouffe d'Offenbach... qui s'en est sans doute inspiré.
    Il va sans dire que je suis fan de l'un comme de l'autre.

    Encore merci pour ce bel article et bonne fin de vacances, Arlette

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    1. Merci Tilia pour tes recherches correspondant aux diverses publications La description de cet opéra juste dans la maison du compositeur avec son parcours émotionnel permet de mieux suivre le déroulement de ses oeuvres qui sont le reflet de sa vie et des évènements , voyages et sensations
      Merci d'apprécier , nous rentrons sur Toulon semaine prochaine et les feuilles des cerisiers se couvrent d'or dans le soleil

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