Juin au jardin d'été en camaïeu ,rouge- rose- orangé
Tout commence par les fières et luisantes fraises préparées pour un dessert gourmand en attendant de plonger dans la bassine à confitures
Rouge en transparence le sirop dans le verre
Orangées les fleurs du vieux rosier parfumé au fond du jardin vite effeuillées par le vent mauvais
Echappée de sa ruchette acidulée la jeune abeille vient se blottir enivrée par les parfums de la rose poudrée
Près de l'arbre coupé les coquelicots en hommage navré
La tonnelle en majesté sur les dernières cerises abandonnées aux oiseaux
Boutons pour boutonnières en prochaines civilités
Mais une esquisse à garder avant que la pluie ne vienne tout emporter
Sous la lumière rouge de la lampe d'un soir de presque été
Ce fut un jour en harmonie de rouge - rose - orangé
Très jolie évocation de ces chaudes couleurs qui nous enchantent, qui les papilles (j'ai fait un monstre tiramisu aux fraises avant-hier), qui les yeux... saveurs fruitées et pétales de roses... c'est beau dans ton jardin !
RépondreSupprimerBiseeeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeeeeeee
Cela change complètement d'activité!! et je redécouvre chaque fois un autre univers ...
SupprimerBonne dégustation de ton" monstre" partagé je suppose !
couleurs
RépondreSupprimerodeurs
goût
satin des pétales
vent du sud
quelle belle journée tu m'offres
merci
amitiés
Avec ton" bleu" en permanence !! Belle palette
SupprimerMerci pour ta visite Amie Bleue
J'aime cette assemblage de couleurs
RépondreSupprimerque les indiens savent si bien mettre en lumière
rouge jaune orange rose
il ne vous manque plus que des capucines
elles commencent actuellement à se mettre en beauté
amitié
Ah!! c'est une idée je n'ai pas de capucines , il est vrais que nous ne sommes pas ici en permanence et il faut peut-être des attentions particulières
SupprimerJ'aime bien les "indiens " dans la Drôme je n'avais pas pensé à cette harmonie colorée Bravo pour la relation
C'est de la provocation !!! Comment résister ?
RépondreSupprimerSeriez- vous un peu gourmand ?cela ne m'étonne pas Bernard , en vrai épicurien que vous êtes
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