"C'est une unique phrase , une longue et interminable phrase qui imbrique le jeu des corps et la structure littéraire d'une façon radicale"
Angelin Preljocaj .parle du livre de Laurent Mauvignier
CE QUE J'APPELLE OUBLI
Crée pour la Biennale de la danse à Lyon en 2012 ; par ce drame ,Angelin Preljocaj donne corps à la violence sociale à partir d'un fait divers , la mort d'un homme massacré par les vigiles d'un super marché pour le vol d'une canette de bière en 2009
Cette pièce chorégraphique sublime performance par la mise en scène et le travail des danseurs
harmonisée au millimètre près
Cet ensemble devient tour à tour inquiétant , effrayant et pathétique par la Honte et la Pitié
Comment , par quelle perfection tant de douleurs peuvent s'exprimer par les corps ,les moindres gestes et les visages des danseurs et du récitant en permanence sur scène , danseur par moment
Laurent Cazanave
( nominé aux Molières du jeune talent en 2011)
Bouleversant spectacle dont on ne sort pas indemne
Le Théâtre Liberté pour une seule représentation , nous offre une fois de plus un chef-d'oeuvre
Extraits du texte du livret et photos internet
Preljocaj, un grand, un très grand... j'aime énormément
RépondreSupprimer;-)
Et un grand personnage volontaire claquant la porte de Chateauvallon il y a quelques années
SupprimerExpression corporelle extraordinaire comme un cri au de-là des mots dont le sens ne serait plus assez fort !
RépondreSupprimerSi fort dans l'expression des sentiments , oui comme un cri que personne ne peut oublier après un tel spectacle de fureur destructrice
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