Depuis plus de cinq siècles les Princes de Liechtenstein réunissent une des plus belle collection privée d'oeuvres d'art qui reflète les goûts de leurs propriétaires successifs
L'Hôtel de Caumont à Aix en Provence retrace ce parcours de mécènes avertis dans un lieu qui fût la demeure de Pauline de Caumont descendante de cette illustre famille au XVIIIè siècle et y créa un salon de musique
C'est par une galerie de portraits des Princes que s'ouvre ce parcours étonnant
Tout commence par ce jeune homme richement vêtu Hartmann de Liechtenstein (1613-1636) qui fût le premier a acquérir des oeuvres de Rubens dont le fonds de nos jours est de 37 .. et 1700 oeuvres , bronzes et livres
Les planches - photos font partie du reportage- papier
La scénographie élégante par Hubert Le Gall de la première salle , impressionne par les oeuvres illustrant le XVIème et la si belle "Vénus "de Lucas Cranach (1531) achetée à Londres en 2013 pour des millions de livres sterling
Elle attire le regard précieuse et insolente sous le regard placide " du Portrait d'un homme" de Raphaël
La scénographie élégante par Hubert Le Gall de la première salle , impressionne par les oeuvres illustrant le XVIème et la si belle "Vénus "de Lucas Cranach (1531) achetée à Londres en 2013 pour des millions de livres sterling
Elle attire le regard précieuse et insolente sous le regard placide " du Portrait d'un homme" de Raphaël
Surprise du petit format , les gravures et reproductions trompent souvent la réalité
Jeux des miroirs dans la pénombre
Affiche , carte
Marque - page
crayon en font leurs délices en toute liberté
Tout l'art du portrait qui est un élément important tout au long des périodes des collections des Princes
Bel éclairage pour une circulation fluide , il est vrai que les petits groupes de 20 personnes expressément limitent les embouteillages !!! Un choix très électif mais appréciable
La salle Rubens
Et en changeant d'étage plus légèrement quelques peintures animalière et trompe l'oeil très en vogue au XVIIème cette lionne trop -chat -chou
Bien sûr quelques vues des nombreuses demeures aquarellées pour ne pas oublier !!!
Le souffle se perd devant tant de magnificences pour des Princes d'un si petit état Principauté depuis 1710 qui malgré les guerres et les temps difficiles ont su garder une unité dans leurs collections et poursuivent encore le rachat des oeuvres perdues
pour terminer car il y a d'autres salles ,par la belle Isis Princesse Caroline Von Liechtenstein peinte en exil par Elisabeth Vigée- Le Brun 1793
et ses bouquet luxuriants fourmillant d'insectes !! natures mortes?? quelle drôle d'idée
Au Revoir ..... en MAI ce sera TURNER paraît-il
Jeux des miroirs dans la pénombre
Affiche , carte
Marque - page
crayon en font leurs délices en toute liberté
Tout l'art du portrait qui est un élément important tout au long des périodes des collections des Princes
Bel éclairage pour une circulation fluide , il est vrai que les petits groupes de 20 personnes expressément limitent les embouteillages !!! Un choix très électif mais appréciable
Et rester un grand moment devant cet incroyable vision d'expressions cupides et délicates
Et en changeant d'étage plus légèrement quelques peintures animalière et trompe l'oeil très en vogue au XVIIème cette lionne trop -chat -chou
Bien sûr quelques vues des nombreuses demeures aquarellées pour ne pas oublier !!!
Le souffle se perd devant tant de magnificences pour des Princes d'un si petit état Principauté depuis 1710 qui malgré les guerres et les temps difficiles ont su garder une unité dans leurs collections et poursuivent encore le rachat des oeuvres perdues
pour terminer car il y a d'autres salles ,par la belle Isis Princesse Caroline Von Liechtenstein peinte en exil par Elisabeth Vigée- Le Brun 1793
et ses bouquet luxuriants fourmillant d'insectes !! natures mortes?? quelle drôle d'idée
Au Revoir ..... en MAI ce sera TURNER paraît-il
Notes prises pendant la conférence , le livret Connaissance des Arts et le journal des Arts
Photos AA permises !!! sans problème
le fait est que…
RépondreSupprimereffectivement cela fait beaucoup mais le reportage en valait la peine il manque pourtant les dernières salles avec les objets précieux tellement beaux et raffinés, espère ne pas trop ennuyer dans la longueur
SupprimerExceptionnelle note Bravo Arlette je vous suis dans vos pas hélas de trop loin et virtuellement pour en percevoir la réelle beauté, je ne saurais m'en lasser et je note Turner en Mai un peintre que j'affectionne. Très intéressant encore merci.
RépondreSupprimerMerci Monique il est difficile de faire un choix et une synthèse devant tant de merveilles , enfin pas tout! la deuxième partie est plus faible , les archives ainsi constituées nous servent beaucoup dans le temps
SupprimerFabuleuses collection privée ! Regarder...admirer...
RépondreSupprimerSalut et Merci Fifi il est vrai que la mise en scène est plaisante en plus du contenu et de l'histoire de cette famille
SupprimerSplendide collection !
RépondreSupprimerCette première version de la Vénus de Cranach est beaucoup plus intéressante que la seconde conservée au Städel de Francfort-sur-le-Main. Pour ma part, je préfère sa longue chevelure déroulée et son seul collier à la sophistication de sa parure dans le tableau de 1532.
Les maîtres des Écoles du Nord ont maintes fois représentés les usuriers et autres banquiers. Ces tableaux me fascinent pour plusieurs raisons, entre autres pour la diversité des expressions faciales et des objets représentés en arrière-plan.
RépondreSupprimerLes "collecteurs d'impôts" de Quentin Metsys ont été copiés plusieurs fois. La plus belle copie est anonyme, elle est conservée au musée des Beaux-Arts de Nancy.
Une autre belle copie de ce tableau, issue de l'atelier de Metsys, a été vendue il y a deux ans par Sotheby's sous le titre "The Misers".
Celle du Museo de Bellas Artes de Bilbao n'a rien de comparable à l'original. C'est une vue légèrement élargie, due à un soi-disant "follower of Marinus Van Reymerswaele" (!!!).
Cette confusion entre Quentin Metsys et Marinus Van Reymerswaele se retrouve un peu partout sur internet, par exemple avec cette amusante copie du XIXe. Une confusion sans doute due au fait que jusqu'ici l'original de Metsys conservé dans la collection du Prince de Liechtenstein n'était pas connu du grand public...
Pour terminer, j'ajouterai que la Princesse Caroline vue par Madame Vigée-Le Brun me fait davantage penser à Mary Poppins qu'à la déesse Iris. C'est sans doute pour cela que ce tableau me plaît autant.
RépondreSupprimerPardon pour la rafale de commentaires en cascade, tu sais chère Arlette comment je peux être bavarde quand un sujet me passionne :-)
Donc, grand merci pour ce super reportage et bonne soirée.
Un grand merci pour toute ces comparaisons et déductions très intéressantes qui alimentent un peu plus cette présentation Tu as bien travaillé le sujet jusqu'à la belle messagère aux pieds aériens qui laissent selon la légende une trace d'arc en ciel figurée ici par cette belle écharpe flottante Peut-être que le personnage de Marie Poppins en est inspiré
SupprimerBravo cela me comble