Quand Stanley vient en catimini pour un
INTERLUDE
Mon beau chat aux attitudes imprévues , sur la table de travail
Pour ne poser qu'un doigt dessus
Le chat est bien trop grosse bête
sa queue rejoint sa tête
il tourne dans ce cercle
et se répond à la caresse
Mais la nuit l'homme voit ses yeux
dont la pâleur est le seul don
Ils sont trop gros pour qu'il les cache
et trop lourds pour le vent perdu du rêve
Quand le chat danse
C'est pour isoler sa prison
Et quand il pense
C'est jusqu'au mur de ses yeux
Paul Eluard
(Poésies 1913-1926 Gallimard )
la profondeur du regard de Stanley rend tout noble et un peu mystérieux
RépondreSupprimerIl s'installe en Grand Seigneur sûr de son pouvoir
SupprimerLes "minous" prennent une grande place dans nos vies pour peu que nous leur apportions tout ce qu'ils attendent de nous et qu'ils savent d'ailleurs si bien nous rendre, combien de poètes n'ont pas pu résister à leur consacrer quelques mots de tendresse et souvent plus car ils ont un comportement tout particulier avec papiers, livres, crayons et claviers d'ordinateurs.....lisez leur un poème....ils ronronnent ....j'en ai fait l'expérience...caresse à Stanley de la part de ma petite Papyrus.
RépondreSupprimerGrand inspirateur de sagesse ancestrale qui nous échappe parfois devant le quotidien à gérer
SupprimerPapyrus et Stanley nous sommes en aventure ..........
Je les aime immensément
RépondreSupprimerj'en ai quatre qui enchantent ma vie
et une myriade de leurs amis
me rendent visite aussi
Il y a quelques temps Maïté dans son blog "Eclats de Mots" nous avait fait rencontrer un chat amateur d'art ICI je suis sûre que ça vous plaira
Beau lundi Pâques chère Arlette
Merci Maria c'est étonnant ce chat de musée il suffit de les observer et de suivre nos pensées
SupprimerAmicalement
Ce Stanley s'entendrait bien avec mes minous qui, eux aussi, viennent toujours s'installer près de moi quand je travaille.
RépondreSupprimerLe poème d'Eluard est si beau.
Merci pour votre passage et l'attention de votre regard
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