"Construire des palais ressemblant à des tentes
, présentant à l'intérieur la lumière brouillée des sous- bois
et, durant moins qu'une futaie
L'absence de poids , ailleurs suspecte , chez eux est recherchée
(Henri Michaux évoque dans un petit livre "Jeux d'encre"
la peinture chinoise)
En peinture plus encore : sur des toiles de soie
peine ils effleurent de gris ou de noir
à la volée , la nature nullement transportée d'autorité vassalisée , est plutôt par un air de famille et de négligence invitée à se retrouver
Et par charme , elle y vient
(détail d'une encre de Gyokudô selon une technique d'un maître chinois Ni Tsan XIVème)
un billet plein de merveilles - merci
RépondreSupprimerOh!! Merci infiniment , merveilles en équilibre comme le temps qui va... au gré des jours
SupprimerOn retient son souffle devant cet instable apparent, tout est dans l'équilibre, en musique en poésie comme en peinture, en sculpture et dans bien d'autres domaines encore... On parle alors d'harmonie qui ne tient qu'à ce "je ne sais quoi , ce presque rien" comme aimait le dire Jankélévitch et particulièrement pour lui en musique,...
RépondreSupprimerHarmonie est bien le mot dans cet apparent chaos Merci Monique
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