A travers les brumes des fumigations et les errances laissées par une invitée indésirable,
Dame des douleurs ( la grippe)
l'esprit vagabonde en poésie
Le poème Tang, chant écrit qui obeit au rythme primordial de saisons et des années qui passent
comme les sentiments de l'absence et du retour
d'espoir rêvé ou pas de l'Aimé
"Du haut de la terrasse , pour dire Adieu
Fleuve et plaine perdus dans le crépuscule
Sous le couchant , reviennent les oiseaux
l' homme, lui, chemine toujours plus loin "
Wang Wei
L'écriture poétique chinoise François Cheng (poche -essai)
cette intelligence que donne la fièvre (sauf au pire de sa force)
RépondreSupprimerSoigne toi bien !
L'esprit se laisse bercer par les mots du poème jusqu'à l'endormissement
SupprimerMerci désolée de ce vague vide
Aïe ! toi aussi tu as droit à la visite de cette importune ? J'espère que tu vas t'en débarrasser rapidement.
RépondreSupprimerElle rode encore et va choisir bientôt une autre victime proche j'en ai peur
SupprimerTrouvons lui vite une image de sorcière...
prompt rétablissement...
RépondreSupprimerj'aime cet espace temps où les pensées sont brumeuses avant de devenir lumineuses...
Dans cet adieu au fleuve se demander ce que nous sommes venus faire ici, porteur de quelle mission. "Cheminer toujours plus loin. " En vain.
RépondreSupprimerPrompt rétablissement. Sortir de la fièvre comme d'un rêve.
Merci Jeandler pour ton attention
Supprimerl'homme va toujours plus loin... et doit avancer coûte que coûte , pour que les fleuves et les plaines restent en beauté à contempler
Comme souvent dans les poèmes Tang et la poésie chinoise, François Cheng le fait si bien ressentir par une certaine mélancolie en parallèle d'une belle espérance
Merci Elisanne c'est bien ce que j'attends !!!
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