samedi 6 novembre 2010

ET QUE LE VENT L'EMPORTE.......


Des riens ....quelques roseaux ployant sous le vent , une barque perdue dans une lagune , l'artiste cherche à rejoindre l'immense par l'infime et donner par là une présence à l'invisible
François Cheng

8 commentaires:

  1. Elisanne
    Un brin de nostalgie.....c'est la saison

    RépondreSupprimer
  2. Clair miroir de l'esprit libre en tous reflets,
    Pleine lumière du vide en chaque grain d'univers.
    Aux dix mille ombres de l'exubérante multitude
    Une perle irradie dans l'oubli de l'espace.

    HIUAN-KIUE DE YONG-KIA (665-713)

    RépondreSupprimer
  3. "L'Art ne reproduit pas le visible. Il rend visible"

    Paul Klee / Théorie de l'art moderne

    RépondreSupprimer
  4. Bernard
    Une musique des signes afin de capter le vrai le beau avec imagination
    Merci Bernard pour ce poème qui correspond
    Maria
    Rendre visible ce qui ne peut être que ressenti est un essai qu'il faut oser sans cesse
    Pensées vers vous Chère Maria

    RépondreSupprimer
  5. présence à l'invisible...cette peinture, j'aime ce qu'elle dégage Arlette

    RépondreSupprimer
  6. Brigitte
    Par la voix de François Cheng je réponds
    "Le vrai toujours
    est ce qui tremble
    entre frayeur et appel
    entre regard et silence"
    (Et le souffle devient signe)

    RépondreSupprimer
  7. merci Arlette ces vers sont aussi de toute beauté

    RépondreSupprimer