Telles des sentinelles devant l'immensité, les sculptures déchirées de Germaine Richier à Antibes château Grimaldi sur les terrasses
Bronzes martelés de feuilles intégrées de cailloux et de sable
Pousières incrustées , poussières de vie en des attitudes hiératiques
Blessures du temps qui passe .... loin des idéales beautés recomposées
Vierge folle (1946) - La feuille (1948) Le grain (1955)
Ou le griffu d'Arles
Sur les remparts l'esprit du Prince foudroyé plane encore
superbe cadre pour les oeuvres de cette admirable femme
RépondreSupprimerComme venues de la mer, les mains nues,
RépondreSupprimerportées par le flot
natives
une vague d'où sourd la parole.
Brigitoun
RépondreSupprimerA chaque fois émue de tant de réalisme travaillé
Jeandler
Promontoir comme une dramaturgie antique le site est merveille
Tout le contraire des statues du Futuroscope qui étaient rondes et bien en chair !
RépondreSupprimerCelles-ci crient famine : les pauvres !
Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeee
Christineeee
RépondreSupprimerCorps souffrants loin des beautés idéalisées
D'une grande Beauté... Oh ! que j'aime cela... et tout particulièrement votre première photo... un lieu magnifique il est vrai ... et Richier une grande bonne-femme...
RépondreSupprimerMaria
RépondreSupprimerSon parcours et ses rencontres ont précisé son oeuvre ..une "chance " si l'on peut dire dont elle a imprimé une grande force
Je rage!!!!!!!
RépondreSupprimerMa soeur est à 100m du musée et j'ai jamais le temps d'y aller
Alors Bernard il faut rendre visite à Madame Soeur
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