¨Puisque le jeune Werther le chante dans sa poésie mélancolique devant la belle nature
Juin à la campagne est à l'unisson ...c'est tout un univers
du soleil au vent ,des fleurs à la pluie , de l'orage à la bougie ,
en quelques jours , la nature reprend ses droits
Alors lisons
"Je ne sais si je veille ou si je rêve encore
Tout ce qui m'environne à l'air d'un paradis
Le bois soupire ainsi qu'une harpe sonore
Un monde se révèle à mes yeux éblouis
Ô nature pleine de grâce
Reine du temps et de l'espace
Daigne accueillir celui qui passe
Et te salue humble mortel
Mystérieux silence ! ô calme solennel
Tout m'attire et me plaît!
Ce mur et ce coin sombre
Cette source limpide et la fraîcheur de l'ombre
Il n'est pas une haie , il n'est pas un buisson
Où n'éclose une fleur , où ne passe un frisson.
.....
Acte premier scène IV Goethe
Oh ! comme j'aime la mélancolie du jeune Werther
RépondreSupprimeret la nature au printemps ... les mois de mai et de juin
les chats noirs collier rouge avec ou sans laisse
et le beau Jonas ici