Imperturbables les jours vont ...
et le goéland guette toujours les premiers rayons du soleil coloré
L'ordre des choses dans ce chaos reste en place!
S'ajoute une grande peine ...
Le professeur tant écouté aux paroles si claires et pertinentes quand ses cent ans frôlent un printemps prochain d'un jardin enchanté
Ce printemps espéré n'est plus que noir hiver qui embrume sa tête blanche
Maillon défait de la parfaite harmonie
" Sa raison s'en alla
L'éclat de ce soleil d'un crêpe se voilà
Tout le chaos roula dans cette intelligence
Temple autrefois vivant , plein d'ordre et d'opulence "
Charles Baudelaire (Les Fleurs du Mal)
http://arletteart.blog.lemonde.fr/ la suite du poème de Baudelaire
mais que c'était beau la route du retour !
RépondreSupprimern'empêchait notre écoute, les quelques phrases tâtonnantes, le plaisir muet d'être en accord
Instants privilégiés comme je l'avais avec mon professeur dont la raison s'est égarée
RépondreSupprimerme réjouis de voir la flamme du cyprès perçant les toits, telle le soleil perçant les nuages ou l'oiseau triomphant de la pesanteur
RépondreSupprimerLes arbres sculptent le ciel selon les heures du jour d'un côté le cyprès et là les pins parasols
SupprimerHarmonie bienvenue