OH! comme j'aime par un beau soir d'été
Quand les lumières à l'ouest déverses ses flots d'or
Et que sur les zéphyrs embaument calmes dorment
Les nuages d'argent loin- loin laisser
Toutes les pensées les plus mesquines m'offrir la douceur du surseoir
... Peut-être sur l'aile de la poésie prendre essor
laissant souvent une larme délicieuse perler
Une suite rêveuse avec John Keats
autre poète des incandescence et variations de la nature
Choix très ciblé pour ce Bel été
Afin rester en harmonie
en partage
AA
oh la douceur du surseoir (que j'aime ce mot.. et ce qu'il désigne)
RépondreSupprimerMot plein de possibilités... qui va si loin
Supprimerc'est très beau Arlette et nous laisse en harmonie, merci
RépondreSupprimerMerci, Brigitte la vie est si différente pour chacun en ce " bel été" et s'ajuster est périlleux
SupprimerJ'aime
RépondreSupprimerl'aile de la poésie est le bateau du rêve
Je n'en doute pas cher Bernard , vous êtes un poète
Supprimer(...)
RépondreSupprimer"Et là dans les délices bercer d'illusions mon âme" (...)
Des mots merveilleux sous la plume de John Keats qui ne peuvent laisser autrement qu'ému par leur beauté, un poète que j'affectionne
Cela me comble, Monique j'ai toujours une page en attente qui correspond si souvent à l'humeur du jour
SupprimerEt les mots qui en disent long!! en se berçant d'illusions
La campagne est propice à cette méditation mélancolique
Devant la magnificence des spectacles sans cesse renouvelés que nous offre la nature, les mots ne suffisent pas toujours pour transcrire les émotions que ces images suscitent en nous.
RépondreSupprimerTon coucher de soleil, Arlette, est un exemple de cette "magnificence", comment décrire mon émerveillement ?!
Ici dans la maison des champs de la Drôme j'ai tous les soirs au fond du jardin un spectacle toujours différent , car je pense que l'air humide et les nébulosités s'accumulent au couchant , ce que je ne vois pas si bien à Toulon au bord de la mer
SupprimerRavie de ton émerveillement