"Je peins ma propre vie
, mais je cherche aussi à peindre un espace invisible, celui d'un rêve ,d'un lieu
où l'on se sente en harmonie même dans les forces contraires "
ZAO WOU KI (Autoportrait 1988)
C'était en Octobre 2003 au Jeu de Paume et le souvenir de
mettre laissée submergée par des immensités colorées dont
Je ne connaissais que les illustrations et reproductions .
Fascinée par ce peintre et sa progression depuis des années
Sa culture ,son charme et me sentais proche de son travail en profondeur et en harmonie avec ses recherches !!!
son ambivalence et sa vie difficile qu'il a su faire vibrer sans rien opposer (C'est d'ailleurs un de mes dossiers le plus complet )
D'une famille d'intellectuels de tradition où tout était signe , il quitte la Chine et arrive à Paris en 1948, curieux de la peinture occidentale Il a 28 ans
Il fréquente les artistes les plus " fiévreux " toujours pour cette attirance vers une entorse aux sens communs et aux lignes droites
Hanté par Klee et la calligraphie tant étudiée
Il cumule les honneurs et distinctions , mais sournoisement
rattrapé par la maladie
Il s'en va l'esprit déjà perdu vers ses immensités colorées
Je vous offre en partage ce bel artiste qui m'a tant fait rêver
( Quelques notes reprises d'un article de
Colin Lemoine dans le Journal des Arts )
Colin Lemoine dans le Journal des Arts )
merci Arlette, j'étais avec vous:) à cette exposition en 2003 et je fus éblouie par tant d'immensité "peindre, peindre, toujours peindre, encore peindre le mieux possible, le vide et le plein, le léger et le dense, le vivant et le souffle " très beau week-end Arlette
RépondreSupprimerJ'en ai gardé un vif souvenir ,étant seule j'ai pu y rester très longtemps aller et revenir éblouie
SupprimerMerci pour ceci
RépondreSupprimermerci pour le reste
merci pour tout.
Un grand partage chère Maria et cela me comble
SupprimerLa disparition de Zao Wou Ki m'attriste.
RépondreSupprimerIl est parti au moment où je m'absentais des médias pour filer en Belgique, je n'étais donc pas au courant.
Sa peinture, que j'admire énormément, me semble découler tout naturellement des "pierres de rêve" chinoises et de "L'écriture des pierres" chère à Roger Caillois. Tu me diras ce que tu penses de ces rapprochements.
Bel et bon pont de l'Ascension
Il y a eu peu de bruit sur sa disparition , il vivait en Suisse avec pas mal de problèmes avec sa succession et ses enfants
SupprimerOui !!des pierres de rêves en finalité mais par ses recherches progressives au début il était figuratif , puis il commence par épurer le réel et se rapproche par l'usage du signe comme la calligraphie mais sans signification ajoute des espaces et masses colorées avec les grands formats il se rapproche plus de Hartung et Mathieu que des surréalistes qu'il fréquente comme Caillois
Merci Tilia Bon" grand pont" assez perturbant toutefois
Merci pour me faire découvrir cet artiste dont j'ai entrevu à Pompidou dernièrement. Je n'ai pas encore approfondi sont histoire et son art mais je vais m'empresser de le faire.
RépondreSupprimerMerci Bernard nous découvrons mutuellement nos découvertes respectives en partage
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