IL y a plus dans ce qui n'est pas dit , et que l'oeil découvre
Comme les oiseaux se blottissent sur un fil
Les promeneurs se regroupent , silhouettes graphiques
sur fond d'immensité .
Un pousse passe ...en pédalant
Aragon par la fenêtre entre -ouverte sur le Quai des Ponchettes
plonge toujours dans les yeux d'Elsa
Graphiques aussi les grandes courbes en fer gris
Pourquoi les vendeurs de parapluies perdurent ...
surtout dans le midi ?
Et pourquoi pas se faufiler dans la loge Impériale de l'Opéra
grimper sur les marches du tapis rouge jusqu'aux bancs de bois du poulailler
Toucher presque du doigt le magnifique lustre en cristal
Ecouter les vocalises et compatir à l'anxiété d'une jeune personne en attente d'audition pour renouveler les choristes de L'Opéra
Danser comme le" dahu " sur la scène en forte pente
Imaginer le fond de scène face à la mer avant le grand incendie de 1881
Reconstruit différemment selon les plans de Charles Garnier
Errance dans les petites rues de NICE la BELLE
qui cache encore bien des secrets
j'aime tes photos
RépondreSupprimerjolies mignatures
ombres qui se déoupent
Graphisme tentant en contre- jour pour une autre interprétation
Supprimerbillet régal (aime tout spécialement l'ouverture avec les oiseaux et promeneurs suspendus par groupes)
RépondreSupprimerExactement l'image entrevue comme les oiseaux sur un fil "esprit grégaire" dirait le naturaliste!! comportement naturel de l'humain
SupprimerL'enseigne de la boutique de parapluies me ravit, ainsi que le lustre de l'Opéra et le lampadaire de la jetée (avec ou sans promeneurs en rang d'oignons) qui tente de se hausser du col au dessus des palmiers.
RépondreSupprimerJustement Tilia le même jour un article sur "Nice Matin" (notre quotidien) parlait de cette boutique et des traditions ,qui vaudrait un billet à lui
Supprimerseul
Remarqué aussi le cadre fait des palmiers et du lampadaire comme un clin d'oeil à capter juste là et pas à un pas de plus