samedi 12 novembre 2011

LA CITE INTERDITE AU LOUVRE (2)



Suite de ces cultures en miroirs ......
Aussi très curieux de la culture occidentale
le Grand Empereur Yongzheng
se présente en perruque et costume de la cour de Versailles portraituré par Guiseppe Castiglione peintre italien intégré aux ateliers du Palais Impérial Mieux encore et sans complexe
une autre toile, scène de chasse au lion en habit de cour !!! pas très pratique !! d'autres images tel
l'Empereur sur un cheval peu chinois ....
A la même période à Versailles Marie-Antoinette
dispose dans son boudoir une fontaine et deux perroquets en porcelaine chinoise qui n'est autre qu'un superbe
vase Kangxi
dont la reine fait ajouter des éléments très Français en bronze doré
Vu aussi (mais interdit de photo!!)
une robe de l'impératrice Eugénie en soie et broderie chinoise ainsi qu'une tunique de toute beauté recoupée pour une dame de la cour en robe à la mode du jour
Ces histoires parallèles sont admirablement et sérieusement présentées au Louvre jusqu'en Janvier 2012

4 commentaires:

  1. ah Castigione - le plus beau métissage qui soit - dommage qu'il ait té oublié aussi longtemps des deux côtés

    RépondreSupprimer
  2. Ô ! quelle merveille !!!
    Une bien belle mise en lumière chère Arlette


    Beau soir

    RépondreSupprimer
  3. Ils avaient déjà l'esprit "mode" bien ancré dans leur façon de se vêtir, chacun "copiant" le look du voisin...
    Il me semble que l'empereur, en connaisseur, monte un cheval arabe : monture fine et rapide. Les français préféraient les ibériques !

    Biseeeeeeeeeees de Christineeeeee

    RépondreSupprimer
  4. Brigetoun
    Effectivement ,Connaissais très peu Castiglione et son art tout en finesse qui a su s'adapter aux critères des lettrés en leur apprenant la perspective et les ombres -volume
    Mémoire du silence
    Merci Amie sans vouloir être didactique je choisis toujours un angle particulier, parfois étrange et le retrouve en lisant sur un blog ami cette phrase qui me touche "Le réel peut-être dans le regard et puis aussi à l'intérieur de soi " (Dominique Sorrente chez Brigetoun-Paumé)
    Christineeee
    Ton oeil averti a repéré bien sûr la race du cheval justement peu chinois (Castiglione)
    mais apprécié par l'Empereur

    RépondreSupprimer