"J'ai consacré ma vie à barbouiller de la peinture sur la toile" dit un jour de 1914 Auguste Chabaud à un critique d'art
L'éternel ombrageux retient la lumière des Alpilles ,aux arêtes vives en des formes abrutes cernées de noir
Il sculpte les visages et les corps et reproduit la vie à travers son étrange passion de la peinture
De retour à Graveson berceau de sa famille ,il transpose ses visions lointaines aussi tourmentées que son esprit
Auguste Chabaud , devance la peinture contemporaine
(Deux vieilles Provençales 1909)
Magnifique... j'aime les barbouilleurs... merci pour cette mise en lumière et beau dimanche
RépondreSupprimermerci pour ce rappel
RépondreSupprimermerci pour cette découverte
RépondreSupprimerun peintre que je ne connais pas bien, il me reste à aller visiter son musée lors d'une prochaine escapade en provence...
bonne journée
Une découverte!
RépondreSupprimerUne reconnaissance récente avec ce Musée à Graveson.
Une belle utilisation de la lumière qui fait flamboyer les noirs.
Maria , Brigetoun ,Doubleje ,Jeandler,
RépondreSupprimerC'est effectivement à Graveson que vraiment j'ai pu mieux envisager ce peintre Provençal étudié en tant que tel ,mais qui annonce la peinture forte des années suivantes et même les expressionistes de l'Europe du Nord