vendredi 30 janvier 2015

POUR NE RIEN OUBLIER (Récapitulatif de Janvier 2015)

LE BEL AN NEUF AU GRILLON
Un gage de bonheur en ce début d'année plein de promesses déjà; le ton est donné
 JEUNE PRESOMPTUEUX
"laisse faire le temps , la vaillance et ton roi"en revisitant les classiques 
Déjà un petit air de campagne par 
UNE RENCONTRE INSOLITE 
La vague ondulante  des moutons vers les bonnes herbes d'un enclos  plus loin
Quand brusquement le 7 JANVIER tout s'arrête en sidération 
LIBERTE ... J'ECRIS TON NOM
"Sur les marches de la mort j'écris ton nom Liberté"Eluard avait déjà tout dit
Imperturbables pourtant dans le chaos de la vie 
SOLEIL LEVANT ...SOLEIL COUCHANT 
tout parait simple  et 
L'INDIFFERENCE
reprend son chemin 
L'OISEAU NOIR 
dresse toujours sa bêtise et son arrogance ,  Partir et ne plus toucher terre 
NOVECENTO 
Lui trouve la solution , lui qui jouait sans savoir une musique qui n'existait pas 
AU GRE DES JOURS ... LA VIE QUI VA 
POUR NE RIEN OUBLIER 
rétrospective et rêve d'un grand bateau blanc et le l'oiseau des Hautes - Mers 


 



mardi 27 janvier 2015

CROISIERE

Rêve de croisière  Rêve d'Evasion
Sur le Grand Bateau Blanc, Elle voulait fuir sa vie  
Voyage sans escale 
Voyage hors du temps 
Voyage par tous les temps 
Quand le Grand vent souffla sur le pont du Grand Bateau Blanc 
L'Oiseau des Hautes Mers 
Lui prit la main 
et Elle s'envola
AA
Peinture Max Ernst (1950 Le courant Humbold
Photo Roland Conrad ( imagerie)

dimanche 25 janvier 2015

AU GRE DES JOURS ...LA VIE QUI VA

Jours  intenses et joyeux
Jours aventureux tristes ou méditatifs 
En feuilletant les neuf albums depuis 2010
739 billets - 4587 commentaires -61 396 pages lues!!
  ( disent les statistiques)
C'est impressionnant , comme un journal de bord qui renvoie à d'autres pages  consultées sur d'autres blogs amis  en écho de pensées , sans se connaître juste un échange d'idées enrichissant parfois même si éloigné de ce que nous sommes soi-même ,qui permet  inévitablement 
 d' élargir sa vision du monde
Qu'ils en soit remerciés pour leur fidélité

Beau pavage de couvertures précieuses


dont la plupart sont des cadeaux ,remplis  de l' écriture de ces articles plus facile à regarder pour les " "non -internet "
Points de repères du temps qui va ...
Revue de détails 

 

Et le petit dernier 2015  Qu'adviendra-il sur ces  des pages blanches...

Il y a aussi plus confidentiel les poèmes et peintures - photos du "Monde  Images - Imagine" 
un blog différent
qui reste intemporel tout en évoluant depuis 2008

De quelques pensées jusqu'aux plus grands poèmes aimés



















mercredi 21 janvier 2015

NOVECENTO...1900

Voyage sans escale ..


L'enfant sans nom qui naît sur ce bateau et qui n'en descendra jamais
 Novenceto  "1900" année de sa naissance ,
 abandonné par ses parents qui émigrent vers les Etats -Unis
 Il  devient un immense pianiste et  ne descend jamais à terre jugeant sa liberté plus grande dans cet espace réduit que dans un monde si vaste 

André Dussollier virevolte , danse sur le pont de ce paquebot , monologue avec quatre musiciens
Il incarne Tim Tooney , le trompettiste de l'orchestre , ami de Novenceto , témoin de sa vie
Le récit de l'acteur inspire chorus et improvisations jazz et classique Histoire un peu irréelle d'Allessandro Baricco , mise en scène par A Dussollier 

" Comme l'albatros de Baudelaire il fascine par sa grâce , mais le monde des hommes  est un clavier trop grand pour lui 
 Les 88 touches de son piano ne suffisent -elles pas à son bonheur?"
Vaste pensée 
Théâtre - Liberté hier soir
Notes par çi par là et tout devant pour quelques images   AA 
( mise en scène Dussolier - PF Limbosh)Piano Elio Di Tanna , Trompette Sylvain Gontard , Batterie Michel Bocchi,  Contrebasse  Olivier Andrès
Bien aimé le rideau de scène transparent  et hall du Théâtre comme un grand quai


lundi 19 janvier 2015

L'OISEAU NOIR

Quand le Grand ours Blanc recouvrit la terre de son manteau blanc , les couleurs n'apparaissaient plus et les oiseaux demandèrent au Maitre - Peintre de l'Univers de leur donner les couleurs du Bel Eté 
Le Maître des Univers prit alors les plus belles écorces , les plus beaux pigments de sa réserve 
Mais un grincheux , bruyant , agité renversa tous les pots de lumières colorées 
Alors le Maître - Peintre le trempa dans le mélange restant  et lui dit 
Tu seras NOIR   DERANGEANT  BRAILLARD
et dans la splendeur du printemps revenu
 là haut sur une branche croasse le corbeau
Fier !
 en se disant que Lui ,est le reflet de toutes les plus belles couleurs



Improvisation sur une légende Amérindienne" Le Corbeau Père"
Encre sur carton AA (50x60) Voir aussi Images - Imagine Blog le Monde et le poème de Colette Muyard sur ce thème
 http://arletteart.blog.lemonde.fr/

jeudi 15 janvier 2015

INDIFFERENCE

Sur la promenade du jardin déambulent les habitués
Les jets d'eaux gazouillent 
et les tourterelles se prennent pour les colombes de la paix dans les bras de la statue sans vouloir vraiment s'envoler
Le petit chien compte les points 
La vie continue et même ,si on tourne le dos à la vie avec indifférence !
 Notre regard sur les choses  n'est que le reflet de notre monde intérieur transformable selon les circonstances 
" Ce que nous appelons le monde et que nous croyons avoir en commun n'est que la caisse de résonance que chacun creuse en soi à disposition de ce qui l'entoure Il y a un monde tapi en soi  qui double le monde du dehors avec ses étendues propres On pourrait en rester là isolé dans son rapport particulier , tournant en soi comme en un lieu familier et rassurant On pourrait croire à soi avant de croire aux choses..."
Jérémy Liron ( La mer en contrebas tape contre la digue)




dimanche 11 janvier 2015

SOLEIL COUCHANT ...SOLEIL LEVANT

Imperturbables les jours vont ...
et le goéland guette toujours  les premiers rayons du soleil coloré
L'ordre des choses dans ce chaos reste en place!
S'ajoute une  grande peine ...
Le professeur tant écouté aux paroles si claires et pertinentes quand ses cent ans frôlent un printemps prochain d'un jardin enchanté 
Ce printemps espéré n'est plus que noir hiver   qui embrume sa tête blanche 
Maillon défait de la parfaite harmonie 
" Sa raison s'en alla 
L'éclat de ce soleil d'un crêpe se voilà 
Tout le chaos roula dans cette intelligence 
Temple autrefois vivant , plein d'ordre et d'opulence "
Charles Baudelaire (Les Fleurs du Mal)
 


http://arletteart.blog.lemonde.fr/ la suite du poème de Baudelaire

mardi 6 janvier 2015

RENCONTRE INSOLITE

Comme dans un roman de Giono...
Comme une grande vague ondulante 
"le Troupeau coule avec son bruit d'eau  , les têtes aux yeux morts dansent de haut en bas en mâchant doucement le goût des herbes anciennes "


Mais ce n'est pas vers la falaise pour se jeter et sauter dans l'eau tels les moutons de Panurge 
Juste un changement de parquage sur le chemin de la Bouverie 
,
 les chiens à leur poste d'encadrement , l'Enfant devant et le Père qui assure la fin du défilé 
Juste le temps de quelques images mal cadrées à travers la vitre 
et  tout redevient route - promenade 
Petit cadeau imprévu et joyeux  


samedi 3 janvier 2015

JEUNE PRESOMPTUEUX !

Je suis jeune il est vrai...
Te mesurer à moi ! Qui t'a rendu si vain?...
Et pour leur  coup d'essai  veulent des coups de maitre
Sais -tu  bien qui je suis  ?

Il est encore sur l'écran de nos mémoires avec les mots tant de fois "rabâchés "et apercevoir  entendre  voir aussi cette fabuleuse histoire !!! 
et rester , devant le séduisant Charlton Heston  et ses yeux fascinants  les décors et les batailles , la musique ,les costumes .. parfois étranges ! Quel spectacle !! (1962 Anthony Mann) Arte
Bonbon nostalgique d'un après -midi pluvieux et désoeuvré 

et surgissant on ne sait comment d'un désert aride et impitoyable Chimène - Sofia  parfaitement maquillée hiératique dans sa tenue d'éplorée  se jetant dans les bras de son Prince tout pardonné
Tellement imprévue et ...crédible " l'Amour vaincra toujours "
La naïveté des films américains de cette grande époque est stupéfiante et surréaliste Ils ont même deux enfants ( des jumelles)
Cela me charme encore ...
Désolée ! 
Mais le clou et ne m'en souvenais plus, c'est la dernière scène LE CID  sur son cheval blanc avec sa cape blanche flottant au vent , une flèche plantée dans l'épaule depuis la veille!! sur la plage devant Valence délivrée fait par sa présence  fuir les mécréants 
The End
 Mot magique en grand fracas de sons à lever l'âme OUF quelle épopée !! et
Garder un peu de cette émerveillement d'enfant par un après -midi tristounet valait la peine de ce billet innocent ...enfin presque 

On  reconnait même Ralf Valonne dans un second rôle
Et surtout relire Corneille en vieille édition 1887 librairie Hachette 79 Boulevard St Germain 
annoté par ma grand - mère de sa fine et limpide écriture
 ( Mais là c'est aussi une autre histoire qui dépasse le propos voulu du film )

"Espère en ton courage , espère en ma promesse 
 Et , possédant déjà le coeur de ta maitresse 
Pour vaincre un point d'honneur qui combat contre toi
Laisse faire le temps , la vaillance et ton roi" 
Dernière scène acte V scène VIII

THE END !!!!!

jeudi 1 janvier 2015

BEL AN NEUF AU GRILLON

Le vent ne souffle pas tous les jours du mois
il souffle quelquefois seulement 
Les fleurs s'épanouissent alors dans une splendeur sans pareille 
Qu'un artiste les voie et peigne leur image 
Elle sera gravée dans les mémoires à jamais 
 
 
Le grillon est signe de vie , sa présence au foyer est gage de bonheur et le Sage diffère des autres hommes parce qu'il conserve les vertus de la nature
Le poète en écoutant le grillon éprouve une tendresse mélancolique Chen -King dans une ode dit que le chant du grillon dans un Palais Princier aux multiples splendeurs est le ravissement  le plus précieux
Extraits "Des estampes du studio des dix bambous" (Harmonie parfaite )
 
 
BELLE  ANNEE A VOUS AMIS FIDELES  ET  DE PASSAGE 
AA