Il avait toujours avec lui son carnet
esquissait les passants
dans les transports il était passionné de départs et restait longtemps sur un banc où un quai de gare dans un bus contemplant les allées et venues ....
ceux qui partaient , ceux qui attendaient
Où allaient -ils ? visages fermés , recueillis , impassibles
qui étaient -ils ces inconnus croisés un instant? La vie devenait un roman
1894 1896 1900
Tant d'évènements se préparaient
esquissait les passants
dans les transports il était passionné de départs et restait longtemps sur un banc où un quai de gare dans un bus contemplant les allées et venues ....
ceux qui partaient , ceux qui attendaient
Où allaient -ils ? visages fermés , recueillis , impassibles
qui étaient -ils ces inconnus croisés un instant? La vie devenait un roman
1894 1896 1900
Tant d'évènements se préparaient
Pages des Carnet de Pierre Fagart
une découverte que je fais, dans mon ignorance immense
RépondreSupprimeroH!!!! Brigetoun quelle ignorance ????? Pierre Fagart était mon grand -père Paternel et tout un pan de vie se retrouve dans ces carnets (25) environ et surtout la suite avec cette guerre suis touchée particulièrement par "Auteuil -Madeleine " Le trajet du fiacre Merci de ton attention
RépondreSupprimerSurprise dans la nuit
RépondreSupprimerle vent en folie
un regard se perd
le crayon le capte.
Silhouette au bord de la falaise captée en coup de vent Un visage tragique
RépondreSupprimerQuel destin ? aperçu?
Un coup de crayon
RépondreSupprimerComme un grand souffle de vent
Pour saisir l'instant