Le tilleul n'a pas encore de feuilles et le vent joue en transparence ...alors François Cheng vient en parler
"Puisque les oiseaux par leur vol instaurent l'espace
Que nos mots nés de nostalgie à leur instar
Ouvrent la plus vaste aire
Au travers des coeurs brisés
Car ce qui émeut se meurt sans fin
"Le livre du vide médian "
Ô ! magnifique ce bruissement doré... ça donne envie de vivre encore et encore et encore...
RépondreSupprimerc'est beau... j'aime
Les oiseaux font vibrer cet arbre imposant cela arrive rarement tous ensemble
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