lundi 14 décembre 2009

FEMMES DECHIREES




Telles des sentinelles devant l'immensité, les sculptures déchirées de Germaine Richier à Antibes château Grimaldi sur les terrasses


Bronzes martelés de feuilles intégrées de cailloux et de sable


Pousières incrustées , poussières de vie en des attitudes hiératiques


Blessures du temps qui passe .... loin des idéales beautés recomposées


Vierge folle (1946) - La feuille (1948) Le grain (1955)


Ou le griffu d'Arles


Sur les remparts l'esprit du Prince foudroyé plane encore

9 commentaires:

  1. superbe cadre pour les oeuvres de cette admirable femme

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  2. Comme venues de la mer, les mains nues,
    portées par le flot
    natives
    une vague d'où sourd la parole.

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  3. Brigitoun
    A chaque fois émue de tant de réalisme travaillé
    Jeandler
    Promontoir comme une dramaturgie antique le site est merveille

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  4. Tout le contraire des statues du Futuroscope qui étaient rondes et bien en chair !
    Celles-ci crient famine : les pauvres !

    Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeee

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  5. Christineeee
    Corps souffrants loin des beautés idéalisées

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  6. D'une grande Beauté... Oh ! que j'aime cela... et tout particulièrement votre première photo... un lieu magnifique il est vrai ... et Richier une grande bonne-femme...

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  7. Maria
    Son parcours et ses rencontres ont précisé son oeuvre ..une "chance " si l'on peut dire dont elle a imprimé une grande force

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  8. Je rage!!!!!!!
    Ma soeur est à 100m du musée et j'ai jamais le temps d'y aller

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  9. Alors Bernard il faut rendre visite à Madame Soeur

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